Sahel : ces chefs jihadistes éliminés par les Français… et ceux qui courent toujours

Plusieurs chefs jihadistes de premier plan ont été tués par les forces françaises depuis le déclenchement de l’opération Serval au Mali, en janvier 2013. D’autres sont toujours en vie, cachés quelque part dans l’immensité sahélo-saharienne. Le point en infographie sur deux ans de traque dans le désert.

Le jihadiste algérien Mokhtar Belmokhtar aurait trouvé refuge dans le sud de la Libye. © AFP

Le jihadiste algérien Mokhtar Belmokhtar aurait trouvé refuge dans le sud de la Libye. © AFP

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Publié le 24 décembre 2014 Lecture : 1 minute.

Certains ont été tués, d’autres sont toujours actifs. Depuis le lancement de l’opération Serval au Mali, en janvier 2013 rebaptisée Barkhane et étendue à l’ensemble de la bande sahélo-saharienne depuis août 2014 -, des centaines de jihadistes ont été éliminés par les militaires français. Parmi eux figuraient plusieurs cadres et chefs d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), du Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao) ou encore d’Al-Mourabitoune, tels l’Algérien Abou Zeïd ou le Malien Ahmed Tilemsi.

Mais plusieurs autres, au premier rang desquels le célèbre Mokhtar Belmokhtar, échappent toujours aux forces françaises et à leurs alliés régionaux. Deux ans après les premières frappes contre les groupes terroristes qui contrôlaient le nord du Mali, "Jeune Afrique" fait le point sur les chefs jihadistes sahéliens qui ont été tués et ceux qui sont toujours en vie.

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Benjamin Roger 

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