Vidéo – Bombardement de Bouaké : le déroulé des événements, minute par minute
10 morts, 38 blessés. Le 6 novembre 2004, deux avions Sukoi de l’armée ivoirienne bombardaient le camp français de la force Licorne. Jeune Afrique revient sur le déroulement des faits en vidéo, minute par minute.
![Le camp Descartes, bombardé par l’aviation ivoirienne, le 6 novembre 2004. © PHILIPPE DESMAZES/AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2017/08/04/bouake.jpg)
Le camp Descartes, bombardé par l’aviation ivoirienne, le 6 novembre 2004. © PHILIPPE DESMAZES/AFP
![Bouaké, la contre-enquête. © JA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=72,height=88,fit=crop/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2017/07/21/ja2950p001_ci-1.jpg)
Bombardement de Bouaké : la contre-enquête
Le 6 novembre 2004, deux avions Sukoi de l’armée ivoirienne bombardaient le camp français de la force Licorne. Bilan : 10 morts et 38 blessés. Tournant du conflit politico-militaire ivoirien, ce drame aura également de lourdes conséquences sur les relations entre les deux pays. JA lève un coin du voile.
Une Côte d’Ivoire coupée en deux. Des forces françaises chargées de garder la « ligne de confiance » séparant les rebelles du Nord, les Forces nouvelles, des Forces armées nationales de Côte d’Ivoire (Fanci). Un enjeu : la ville de Bouaké, où sont notamment stationnées des troupes de la Force Licorne, au sein de l’enceinte du lycée Descartes.
En ce début de mois de novembre 2004, la tension est à son comble. Les Fanci progressent vers Bouaké au sol, tandis que leur aviation pilonne les axes menant à la grande ville du centre. Les Sukoi de l’armée ivoirienne, achetés au Français Robert Montoya, lâchent leurs roquettes le 4 novembre, puis le 5. Le lendemain, la routine se poursuit quand, à 13h20, le camp Descartes, où stationnent les Français, est bombardé.
Bavure ? Bombardement intentionnel ? Manipulation de l’entourage de Laurent Gbagbo ? Treize ans après les faits, le drame, sur lequel Jeune Afrique lève une partie du voile dans une grande enquête, n’a pas fini de livrer tous ses secrets. Retrouvez, grâce à l’animation ci-dessous, le déroulé des événements, minute par minute, du 4 au 6 novembre 2004.
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![Bouaké, la contre-enquête. © JA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=72,height=88,fit=crop/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2017/07/21/ja2950p001_ci-1.jpg)
Bombardement de Bouaké : la contre-enquête
Le 6 novembre 2004, deux avions Sukoi de l’armée ivoirienne bombardaient le camp français de la force Licorne. Bilan : 10 morts et 38 blessés. Tournant du conflit politico-militaire ivoirien, ce drame aura également de lourdes conséquences sur les relations entre les deux pays. JA lève un coin du voile.
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