L’Afrique dans les nuages
Pour les éditeurs de logiciels, l’avenir passe par les nuages, ou plutôt par le cloud computing, système dans lequel l’application ne se trouve plus sur le serveur de l’utilisateur, mais est hébergée chez un prestataire.
![Paraboles dans le désert du Karoo, en Afrique du Sud. © AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2010/11/03/003112010154619000000parabole-afsud.jpg)
Paraboles dans le désert du Karoo, en Afrique du Sud. © AFP
Avantage du cloud computing : la société concernée n’a plus besoin de posséder de gros serveurs et d’en assurer la maintenance. Le groupe allemand SAP devrait proposer dans un délai de trois mois la première solution de ce type en Afrique subsaharienne francophone, en partenariat avec la société de télécoms ivoirienne Alink. Pour une PME de cinquante salariés, le contrat de deux ans sera facturé autour de 2 500 euros par mois.
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