Comment la France a exfiltré Blaise Compaoré après sa chute

Le 31 octobre 2014, Blaise Compaoré démissionnait et quittait Ouagadougou. Après avoir pris la direction de Pô, son fief, il était ensuite transporté dans un appareil français, direction la Côte d’Ivoire.

Blaise Compaoré dans le palais présidentiel, à Ouagadougou, le 8 juillet 2022, après un sommet des anciens chefs de l’État avec le lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba. © OLYMPIA DE MAISMONT/AFP

Publié le 4 novembre 2014 Lecture : 2 minutes.

Cet article a été publié pour la première fois en 2014, quelques jours après la chute de Blaise Compaoré, l’ancien président du Burkina Faso.

Durant trois jours, il a tenu bon, hésité, semblé capitulé avant de se raviser. Puis, ce vendredi 31 octobre 2014, Blaise Compaoré se rend à l’évidence. Il quitte le palais de Kosyam vers midi. Déjà en contact avec les autorités françaises, celui qui vient

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