Burkina : avec Compaoré, la France a tout tenté…
La France a plusieurs fois tenté de convaincre Blaise Compaoré de renoncer à se présenter en 2015. En vain…
![François Hollande et Blaise Compaoré à l’Élysée, à Paris, le 6 décembre 2013. © AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2014/11/14/014112014181740000000compaorhollaok.jpg)
François Hollande et Blaise Compaoré à l’Élysée, à Paris, le 6 décembre 2013. © AFP
Longtemps, Paris a tenté de convaincre Blaise Compaoré de quitter la présidence en novembre 2015 en lui promettant la succession d’Abdou Diouf à la tête de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF). Même quand les carottes semblaient cuites. En septembre, alors que le Burkinabè avait déjà repoussé l’offre, Laurent Fabius et François Hollande avaient profité de l’Assemblée générale des Nations unies pour revenir à la charge auprès des représentants du Burkina : "Si Blaise dit oui, on repoussera le sommet de l’OIF." Las, Compaoré avait une nouvelle fois décliné. Chantal, son épouse, n’était pourtant pas contre…
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus – Politique
- Projet hôtelier au sud de Tanger : DSK réagit
- Burkina Faso : le lieutenant-colonel Yves Didier Bamouni toujours porté disparu
- Au Sénégal, l’affaire de la disparition mystérieuse de deux sous-officiers ressurgit
- Damiba à Ibrahim Traoré : « Je ne peux pas garder le silence face aux exactions contre les civils »
- En Côte d’Ivoire, le malaise à la RTI, côté coulisses