Le 7 octobre, les parlementaires ont élu le chef de la diplomatie éthiopienne, Taye Atske Sélassié, au poste de président du pays. Une fonction honorifique, à laquelle il remplace Sahle-Work Zewde, dont le mandat arrive à échéance fin octobre.
Alors que le pays vise l’électrification universelle d’ici à 2030, l’instabilité régionale et les besoins faramineux en infrastructures menacent l’approvisionnement des citoyens.
Après la signature de l’accord de paix avec la région du Tigré, Abiy Ahmed, le Premier ministre éthiopien, espérait notamment que son pays serait réadmis au sein de l’Agoa.
Le président somalien Hassan Cheikh Mohamoud a accusé son voisin de ne pas « reconnaître la Somalie comme un pays souverain ». Mogadiscio refuse toujours le protocole d’accord signé entre Addis Abeba et la région séparatiste du Somaliland.
Le pavillon éthiopien vient d’obtenir le feu vert d’Addis-Abeba pour construire le plus grand aéroport d’Afrique, qui devrait permettre d’accueillir 100 millions de passagers par an à partir de 2029.
La banque centrale d’Éthiopie (NBE) a annoncé, lundi 29 juillet, une réforme majeure de son régime de change, autorisant les banques commerciales à fixer librement le taux de change de la monnaie nationale, le birr.
Les fortes pluies sont à l’origine de la catastrophe qui s’est produite dans une zone difficile d’accès de l’État d’Éthiopie du Sud, où de l’aide humanitaire commence à être acheminée.
Chaque semaine en juillet et en août, Jeune Afrique vous présente une photographie iconique. Aujourd’hui, Sous les flashs des photographes, le coureur éthiopien Abebe Bikila bat le record du marathon.
Avec « Éthiopie, la vallée des stèles », le Musée Fenaille, de Rodez (sud de la France), propose une exposition sur le mégalithisme dans la région du Rift éthiopien, où des civilisations méconnues dressaient des pierres symboliques.
Il avait subi de « lourds dommages » dès le début de la guerre dans la province. L’aéroport d’Axoum va opérer, à partir de ce dimanche, des vols commerciaux « réguliers ».
Les autorités fédérales américaines ont déterminé, mardi 14 mai, que le constructeur avait « violé ses obligations » dans le cadre d’un accord conclu en 2021 à la suite de deux crashs ayant causé la mort de 346 personnes, ce qui l’exposerait à des sanctions pénales.
L’Union africaine a déclaré mardi qu’une tentative d’escroquerie de plus de six millions de dollars sur des comptes détenus dans la principale banque éthiopienne avait été évitée grâce à « la vigilance et l’action rapide » du personnel des deux institutions.
Plus de 50 000 personnes ont été déplacées depuis le 13 avril par des combats qui ont lieu dans la zone de Raya, une région disputée par ces deux groupes ethniques.
En misant sur une stratégie de hub, le pavillon éthiopien s’est peu à peu imposé sur l’écosystème aérien du pays et règne sans partage sur l’aéroport international de Bole.
Le 10 mars 2019, le crash du Boeing 737 MAX reliant Addis-Abeba à Nairobi a provoqué une onde de choc dans le secteur aéronautique. Cinq ans plus tard, alors que le constructeur américain est de nouveau dans la tourmente, le dossier n’est pas refermé. Décryptage en vidéo.
Antoine Galindo avait été arrêté en marge du sommet de l’Union africaine. Il était soupçonné d’entretenir des liens avec des groupes séparatistes classés terroristes par Addis-Abeba.
Chef de la rubrique Afrique de l’Est d’Africa Intelligence, Antoine Galindo a été arrêté alors qu’il avait rendez-vous avec un responsable du Front de libération oromo (OLF), parti politique d’opposition légalement enregistré.
Le chef de l’État somalien, Hassan Cheikh Mohamoud, a accusé le 17 février les forces de sécurité éthiopiennes d’avoir bloqué le véhicule qu’il partageait avec son homologue djiboutien, Ismaïl Omar Guelleh. Le ministère somalien des Affaires étrangères a appelé l’organisation panafricaine à une enquête.
L’ex-ambassadeur d’Éthiopie aux Nations unies et actuel conseiller diplomatique du Premier ministre Abiy Ahmed devient aussi ministre des Affaires étrangères.
Le secrétaire général de l’ONU a appelé en « dialogue » entre Abiy Ahmed, le Premier ministre éthiopien, et Hassan Cheikh Mohamoud, le président somalien, lors du sommet du groupe G77+Chine, à Kampala.
Après l’agression de deux de ses employés par les forces de sécurité éthiopiennes, le patron de Banque africaine de développement, Akinwumi Adesina, a rencontré le Premier ministre Abiy Ahmed. Qui lui a présenté des excuses.
L’Igad, présidée par le chef d’État djiboutien, va organiser un nouveau sommet pour tenter de trouver une solution au conflit soudanais ainsi qu’au différend qui oppose ces derniers jours l’Éthiopie à la Somalie.
Une semaine après avoir conclu un accord qui nourrit les tensions dans la Corne de l’Afrique, le chef de l’armée éthiopienne a rencontré son homologue du Somaliland. Pendant ce temps, le président somalien est arrivé à Asmara, la capitale érythréenne.
Après avoir revendiqué avec insistance un accès à la mer Rouge, le Premier ministre éthiopien est passé à l’acte en trouvant le 1er janvier un accord avec le Somaliland voisin. Provoquant la colère du président somalien.
Le président somalien, Hassan Sheikh Mohamoud, a signé une loi « annulant » le pacte maritime, qu’il estime « illégal », entre l’Éthiopie et la région séparatiste du Somaliland.
L’accord surprise signé entre l’Éthiopie et la République autoproclamée du Somaliland pourrait offrir à Addis-Abeba un accès stratégique à la mer Rouge. Mais il a aussi ravivé les tensions dans la Corne de l’Afrique. Décryptage en infographies.
Début décembre, l’Éthiopien Henok Teferra Shawl, ancien ambassadeur d’Éthiopie en France, ex-patron d’Asky et ancien haut cadre d’Ethiopian Airlines, a rejoint le constructeur américain Boeing en qualité de directeur général pour l’Afrique.
La Banque africaine de développement a annoncé, le 20 décembre 2023, le retrait sans délai de son personnel international d’Éthiopie, après l’agression et la détention de deux de ses employés par des forces de sécurité éthiopiennes à Addis-Abeba.
Malgré l’intérêt de nombreux opérateurs comme Orange, Axian, MTN, e&, Zain ou Veon, les autorités d’Addis-Abeba ont décidé d’abandonner le processus de livraison d’une seconde licence d’opérateur privé, tandis qu’Ethiotel ne semble pas prêt à céder facilement 45 % de ses parts.