Sommet Afrique-France : une organisation qui vire au casse-tête

Chargé par le Mali d’organiser le sommet Afrique-France (Bamako, janvier 2017), Abdoullah Coulibaly est à Paris depuis le 3 et jusqu’au 13 avril.

Vue de Bamako, capitale du Mali. © Arensond/Wikimedia Commons

Vue de Bamako, capitale du Mali. © Arensond/Wikimedia Commons

Publié le 11 avril 2016 Lecture : 1 minute.

Au cœur des discussions : des problèmes logistiques liés notamment à l’hébergement des participants. Difficile en effet de loger une quarantaine de chefs d’État dans les cinq suites présidentielles que compte Bamako. Il a fallu réquisitionner l’hôtel Laico Amitié, longtemps occupé par les membres de la Minusma (la mission onusienne), mais aussi une partie du golf de ce même hôtel afin d’y construire des villas.

Autre sujet de discussion, diplomatique celui-là : la participation peu désirée du Zimbabwe et du Soudan. Les Français pourraient se laisser fléchir pour le premier, en dépit de son image déplorable en matière de droits de l’homme, mais ne veulent pas entendre parler du second. Omar el-Béchir, le président soudanais, est en effet poursuivi par la Cour pénale internationale…

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