Le 18 juillet, le chef de l’État sud-africain a présenté un programme consensuel et salué lors de l’ouverture du Parlement, qui siégeait pour la première fois depuis les élections générales du mois de mai dernier.
Le parti au pouvoir en Afrique du Sud a commencé ses audiences disciplinaires contre l’ex-président. Elles pourraient déboucher sur son exclusion, parce qu’il a dirigé un mouvement rival aux élections de mai.
La fille de Jacob Zuma entre à l’Assemblée nationale, où elle représente le parti de l’uMkhonto We Sizwe, créé par l’ancien président. Saura-t-elle s’émanciper de ce dernier ?
Décimés par les braconniers, les rhinocéros blancs d’Afrique du Sud seront-ils sauvés par l’implantation de composants radioactifs dans leurs cornes ? Des chercheurs tentent le tout pour le tout.
Les familles de Frederik Potgieter et Peter Huxham tentent d’obtenir le soutien du Parlement panafricain pour obtenir la libération de ces deux ingénieurs arrêtés le 9 février 2023.
Alors que le parti uMkhonto weSizwe (MK) s’apprête à faire son entrée au Parlement, il est secoué par une frénésie d’embauches, mais aussi de licenciements. Objectif : s’assurer de la loyauté des uns et des autres.
Le président sud-africain a débuté officiellement son second mandat. Au cours de la cérémonie, il a souligné que le pays entrait dans « une nouvelle ère ».
Au pouvoir depuis 2018, le chef de l’État sud-africain a été réélu par les députés pour un second mandat, malgré la déroute électorale de son parti. Il sera investi mercredi.
Fragilisé après le recul historique du Congrès national africain (ANC) lors des élections générales du 29 mai, Cyril Ramaphosa est tout de même parvenu à se faire réélire à la tête de l’Afrique du Sud. Le nouveau gouvernement, fruit d’une alliance inédite entre l’ANC et la DA libérale, gravitera « autour du centre ».
Les pourparlers se poursuivent entre partis pour former un gouvernement de coalition, alors que le nouveau Parlement élira vendredi 14 juin le prochain président sud-africain. Cyril Ramaphosa espère être reconduit.
En Afrique du Sud, la perte d’influence du Congrès national africain, soutien traditionnel du Zimbabwe, pourrait induire des changements diplomatiques, en même temps qu’elle signe la fin de la toute-puissance des derniers mouvements de libération d’Afrique australe.
Après avoir perdu la majorité absolue lors des élections générales du 29 mai, le Congrès national africain (ANC) cherche des partenaires pour pouvoir gouverner le pays. Le compte à rebours a commencé.
C’est ce vendredi 14 juin que les nouveaux députés se réuniront, à l’occasion de la première session de l’Assemblée nationale, pour élire le prochain président d’Afrique du Sud.
En à peine six mois d’existence, l’uMkhonto We Sizwe (MK) est devenu la troisième force politique d’Afrique du Sud, ainsi qu’en témoignent les résultats des élections du 29 mai.
Zizi Kodwa, membre éminent du Congrès national africain (ANC), a comparu mercredi devant un tribunal de Johannesburg dans le cadre d’une vaste enquête sur l’ère de l’ex-président Jacob Zuma, au moment où son parti cherche une coalition après son revers aux élections générales.
Face à un ANC à bout de souffle, le parti de l’ancien président a fait une percée électorale en tenant un discours réactionnaire et anti-démocratique. Décryptage.
Longtemps considéré comme politiquement fini, l’ancien président de l’Afrique du Sud a réussi son pari en captant la lumière, lors des élections du 29 mai. Un pouvoir de nuisance plus qu’une perspective de retour aux affaires ?
Qui va gouverner l’Afrique du Sud ? Sans majorité claire au Parlement, une coalition entre de grands partis pourrait voir le jour. Et possiblement entre l’ANC et l’Alliance démocratique. The Africa Report a pu s’entretenir avec la cheffe de file de ce parti, Helen Zille.
Coup de tonnerre en Afrique du Sud : après trente ans de règne, le Congrès national africain (ANC), au pouvoir depuis l’avènement de la démocratie et l’élection de Nelson Mandela en 1994, a perdu sa majorité absolue à l’Assemblée nationale.
L’ANC, au pouvoir depuis trente ans, se dirige vers un revers historique aux législatives : les résultats à 85% du dépouillement annoncent la perte de sa majorité absolue à l’Assemblée et l’obligation de former un gouvernement de coalition.
L’ANC est donnée en tête des élections générales, mais d’une très courte avance. Pour la première fois depuis la fin de l’apartheid, le parti devrait, selon toute vraisemblance, perdre sa majorité au Parlement, selon des résultats encore partiels. Le décompte continue, mais déjà se pose la question de l’avenir du président actuellement en poste.
La cantatrice sud-africaine est en tournée en Europe, un an après avoir chanté à l’occasion du couronnement du roi Charles III, au Royaume-Uni. Très appréciée dans le milieu, elle a aussi su gagner l’affection du public.
Le décompte des voix se poursuit ce 30 mai, au lendemain d’élections générales cruciales pour le parti au pouvoir. Pour la première fois de son histoire, la formation de Cyril Ramaphosa pourrait perdre sa majorité absolue.
L’australien BHP a renoncé à faire une offre ferme de rachat sur son rival Anglo American, et à son projet de former un titan du cuivre, suite au refus de ce dernier de poursuivre les discussions.
Deuxième province en termes d’électeurs, le KwaZulu-Natal aura été au centre des attentions des partis qui se présentent aux élections générales du 29 mai. Reportage à Nongoma, dans le Zululand.
Les Sud-Africains sont appelés aux urnes le 29 mai pour un scrutin qui compte pour la composition de l’Assemblée nationale et des gouvernements provinciaux.
Le leader des Combattants pour la liberté économique (EFF) séduit autant qu’il effraie par sa radicalité. Il vise pourtant à rassembler au-delà de sa base électorale en vue des élections générales du 29 mai.
L’ANC au pouvoir mise sur son dernier grand meeting, ce samedi, pour rallier les indécis, jouant sur la carte sensible des progrès accomplis depuis la fin de l’apartheid. Les partis d’opposition déploient eux aussi les grands moyens en ce dernier week-end précédant le scrutin du 29 mai.