Par un communiqué virulent publié ce jeudi, le ministère algérien des Affaires étrangères a manifesté son mécontentement face à la volonté française de soutenir le plan marocain sur le Sahara. Mais pour l’heure, aucune annonce n’a été faite en ce sens.
L’Autorité nationale indépendante des élections a annoncé le 25 juillet le nom des trois candidatures validées pour la présidentielle du 7 septembre : Abdelmadjid Tebboune, Abdelaali Hassani Cherif et Youcef Aouchiche. Le verdict du Conseil constitutionnel est désormais la dernière étape attendue.
Le 13 juillet, la secrétaire générale du Parti des travailleurs annonçait qu’elle renonçait à concourir à la présidentielle du 7 septembre. Aujourd’hui, elle précise qu’elle en a été exclue de manière « préméditée et exécutée par des procédés infâmes ».
L’homme d’affaires et ancien président du club de football phare de Kabylie observe depuis le 17 juillet – et pour la troisième fois – une grève de la faim pour protester contre son maintien en détention préventive. Il est détenu à la prison d’El Harrach depuis maintenant dix-huit mois.
Le 3 août 1996 à Atlanta (États-Unis), l’Algérien Noureddine Morceli, 26 ans, devient champion olympique du 1 500 m. Vingt-huit années plus tard, celui qui fut le premier athlète masculin algérien à remporter une médaille d’or sur cette distance n’a rien oublié de cette journée radieuse. Il raconte.
Ce jeudi 18 juillet était la date imite de dépôt des dossiers de candidature en vue de l’élection présidentielle du 7 septembre en Algérie. Une dizaine de personnalités ont déposé leur dossier, face à l’actuel président Abdelmadjid Tebboune qui part en position de grand favori. La liste des candidats validés sera annoncée le 27 juillet.
Un décret présidentiel daté du 27 juin et publié dans le Journal officiel du 8 juillet généralise désormais le détachement du personnel militaire auprès des administrations civiles publiques dans les secteurs sensibles et stratégiques. Sans énumérer précisément les secteurs en question.
Les dirigeants de la compagnie publique algérienne d’électricité et de gaz ont rencontré les dirigeants de l’Arrec, le régulateur ouest-africain de l’électricité. L’Algérie, qui produit plus de courant qu’elle n’en consomme, montre ainsi l’exemple tout en s’offrant un débouché potentiel en dehors des frontières de l’Afrique du Nord.
Chaque semaine en juillet et en août, Jeune Afrique vous présente une photographie iconique. Aujourd’hui, la série mondialement connue du photographe français, réalisée pendant la guerre d’Algérie.
Le suspense était mince, mais il a duré. Cette fois, les choses sont claires : le chef de l’État a officiellement annoncé, ce jeudi 11 juillet, sa candidature à l’élection présidentielle du 7 septembre prochain.
Alors que l’annonce de sa candidature à la présidentielle devrait intervenir au plus tard dans une semaine, le chef de l’État s’est rendu dans la ville de Tizi Ouzou, en Kabylie, pour inaugurer des projets lancés sous le règne de son prédécesseur.
Premier groupe privé d’Algérie, le conglomérat familial dirigé par Malik Rebrab s’est associé au géant chinois Haier pour fabriquer et commercialiser ses produits électroménagers depuis la wilaya de Sétif.
C’est l’une des questions que pose la décision de tenir le scrutin à une date anticipée : l’Autorité nationale indépendante des élections pourra-t-elle assurer efficacement sa mission ? Pour plusieurs candidats, la réponse est non.
Évoquant une « supercherie électorale » qui ne suscite « aucun intérêt chez l’écrasante majorité des Algériens », le parti annonce toutefois un « boycott actif » et une campagne expliquant sa décision aux électeurs.
Militant puis dirigeant au sein de la ligue algérienne des droits de l’homme, dissoute par le pouvoir, avocat des détenus du Hirak, l’ex-membre du barreau de Tizi Ouzou bénéficie maintenant d’une tribune mondiale.
Le torchon brûle entre Alger et Bruxelles. Cette dernière dénonce les mesures de restriction aux importations imposées depuis trois ans aux entreprises européennes par le gouvernement algérien. En face, l’on rétorque que l’accord commercial qui les lie a fait long feu. Un dialogue de sourds entre les deux partenaires, dont l’Algérie pourrait perdre davantage qu’elle ne gagne.
Jean-Paul Bois-Margnac est sous-lieutenant de l’armée française quand il assiste aux défilés des Algériens qui fêtent l’indépendance de leur pays. De cette journée mémorable, il a tiré 27 clichés en couleurs.
Lors de sa prise de fonction, le nouveau patron de la fédération, Walid Sadi, avait évoqué « une situation financière catastrophique ». 14 cadres, dont 3 anciens présidents, font désormais l’objet d’une enquête.
Le 3 juillet 1984, à Paris, disparaissait le général Raoul Salan. De 1917 à 1960, de la Grande Guerre à l’Indochine en passant par le Levant en 1921, la Seconde Guerre mondiale et l’Algérie, l’officier fut acteur de tous les conflits qui ont façonné le visage de la France contemporaine.
Trente-et-un candidats ont l’intention de briguer la magistrature suprême, le 7 septembre, mais un nom manque encore à la liste : celui du président sortant, pourtant indiscutable favori. Qui a jusqu’au 18 juillet pour officialiser sa candidature.
Deux journalistes ont été incarcérés à Alger après la diffusion d’une vidéo critique à l’égard d’un membre du gouvernement. A Bejaia, la police a empêché sans motif la présentation d’un livre édité par Koukou, une maison d’édition qui fait déjà l’objet de harcèlements et d’intimidations.
L’arrière-grand-père de Jordan Bardella, le président du Rassemblement national, était un travailleur immigré algérien. Il s’est installé en France, dans la région lyonnaise, au début des années 1930. Nous avons enquêté sur cet aïeul dans son village en Kabylie ainsi qu’à Paris.
L’ACTU VUE PAR – Issus de l’immigration algérienne, les anciens membres du groupe français Zebda appellent à un sursaut citoyen face à la montée de l’extrême droite. Rencontre.
Trois anciens responsables de la Direction de la surveillance du territoire révèlent, dans un livre, les coulisses et les secrets des affaires sensibles traitées par l’ex-contre-espionnage français en Algérie et en Europe.
C’est le triste épilogue de la condamnation, confirmée et alourdie en appel, du patron de Radio M et de Maghreb Emergent. Et un nouveau signe du durcissement du régime algérien, à trois mois de l’élection présidentielle.
Chargé de la direction de la protection présidentielle, le général Belkacem Laribi assure l’intérim à la direction du protocole, dont l’ancien patron a été brutalement limogé le 5 juin dernier.