Le leader singapourien, qui a promis de révolutionner le secteur du coton, peine à atteindre ses ambitions. De quoi frustrer les producteurs qui réclament désormais son départ.
Un procès contre l’homme d’affaires Vincent Bolloré a été requis par le Parquet national financier français pour corruption dans l’attribution frauduleuse de la gestion des ports de Lomé au Togo et de Conakry en Guinée, entre 2009 et 2011.
Malgré plusieurs bouleversements et avec un nouveau président du conseil d’administration, la banque panafricaine poursuit sa politique de développement, qui lui a fait franchir les 2 milliards de dollars de revenus en 2023.
Nommé chef d’état-major des Forces armées togolaises (FAT), le général Dimini Allahare aura pour mission de contenir la menace jihadiste dans le nord du pays et de poursuivre la modernisation de l’appareil militaire.
L’entreprise de VTC débarque au Togo. Sur ce marché concurrentiel, elle tentera de se frayer un chemin entre la start-up Gozem et KBG Speed – filiale du burkinabè Ebomaf – qui évoluent sur ce segment.
La nouvelle Assemblée nationale a acté le passage à une Vème République, dans laquelle le pouvoir sera concentré entre les mains d’un président du Conseil des ministres. Ce rôle devrait échoir à Faure Essozimna Gnassingbé, qui pourrait être investi dans les prochaines semaines.
Sans surprise, la Cour constitutionnelle du Togo a consolidé lundi 13 mai les résultats provisoires des élections législatives du 29 avril, donnant une écrasante majorité au parti présidentiel.
Le parti présidentiel a remporté la majorité absolue aux élections législatives et régionales. Une victoire qui, selon la nouvelle Constitution, devrait permettre au chef de l’État de prolonger son bail au pouvoir en devenant le prochain président du Conseil des ministres.
Le parti du chef d’État a largement remporté les élections législatives du 29 avril, une victoire qui pourrait lui permettre de rester au pouvoir en vertu de la nouvelle Constitution adoptée en avril.
Les trois organisations internationales ont salué le bon déroulé du scrutin. Les Togolais étaient appelés aux urnes pour élire leurs députés et conseillers régionaux, après l’adoption contestée d’une nouvelle Constitution.
Plus de 4,2 millions de Togolais étaient appelés aux urnes, lundi 29 avril, pour choisir leurs nouveaux députés et conseillers régionaux. Un double scrutin inédit qui s’est déroulé sans incident majeur, après plusieurs semaines de tensions liées à l’adoption de la nouvelle Constitution.
Ce double scrutin intervient dans un contexte politique tendu, après l’adoption d’une nouvelle Constitution qui délègue aux futurs députés et sénateurs l’élection du président de la République.
Depuis qu’elle a été adoptée par les députés le 25 mars, la nouvelle Constitution provoque des remous. L’opposition craint qu’elle ne permette au président Faure Essozimna Gnassingbé de rester au pouvoir.
Depuis l’adoption de la nouvelle Constitution qu’elle dénonce, l’opposition et la société civile togolaises sont déchirées entre désir de mobilisation et crainte de répression, à quelques jours des élections législatives.
Les législatives et régionales du 29 avril sont cruciales pour le président togolais, au moment où la réforme constitutionnelle vient d’être adoptée par l’Assemblée nationale. Afin de s’assurer une majorité absolue à l’Assemblée et au futur Sénat, il a déployé ses lieutenants à travers le pays.
Les députés togolais ont définitivement adopté vendredi 19 avril la nouvelle Constitution contestée par l’opposition, à dix jours des élections législatives.
À Lomé depuis le 15 avril en « mission d’information », les envoyés d’Omar Alieu Touray ont rencontré toutes les parties engagées dans le processus électoral, y compris les opposants à la révision constitutionnelle. Mais pas, jusqu’à ce jour, le président Faure Essozimna Gnassingbé.
Salem Mohamed Bazoum, fils de l’ex-chef de l’État nigérien Mohamed Bazoum, avait été remis en liberté provisoire le 8 janvier dernier et placé en résidence surveillée au Togo. Selon les informations de Jeune Afrique, il a été autorisé à voyager hors de Lomé.
L’organisation ouest-africaine a publié ce 16 avril un nouveau communiqué annonçant une « mission exploratoire » au Togo, quelques heures seulement après avoir évoqué une « mission d’information ». Entre les deux documents, le ton a sensiblement changé. Explications.
L’opposition togolaise dénonce l’adoption d’une nouvelle Constitution qui permettrait, selon elle, au président Gnassingbé de se maintenir au pouvoir le plus longtemps possible.
Plusieurs partis de l’opposition togolaise ont appelé la population à participer « massivement » aux manifestations prévues vendredi 12 et samedi 13 avril à Lomé pour protester contre la nouvelle Constitution.
L’arrivée sur le marché togolais de l’enseigne chinoise également présente à Dakar et à Douala vient enrichir l’offre dans un secteur déjà très concurrentiel.
Pendant deux jours à Lomé, l’Afrique de l’Ouest a cherché comment renouveler l’engouement des investisseurs pour une région chahutée. Voici les trois points à retenir de ce rendez-vous.
Les législatives et régionales du 20 avril ont été reportées à la demande de Faure Essozimna Gnassingbé, qui a enjoint l’Assemblée nationale de mener de « larges consultations » autour du projet contesté de révision constitutionnelle.
Les adversaires de Faure Essozimna Gnassingbé ne comptent pas le laisser adopter la nouvelle Loi fondamentale, qui institue le passage à une cinquième République et à un régime parlementaire.
Près de 72 heures après le vote, par l’Assemblée nationale, de la nouvelle Constitution, de plus en plus de voix s’élèvent pour le dénoncer. Pour l’économiste Kako Nubukpo, le président Faure Gnassingbé et les députés de son camp prennent le risque de conduire le pays dans une aventure dont l’issue pourrait être tragique.
Apollinaire Mewenemesse a été écroué ce 28 mars. On lui reproche d’avoir publié un article sur les circonstances de la mort du colonel Madjoulba, un proche du chef de l’État togolais.
Moins de 48 heures après l’adoption d’une nouvelle Constitution au Togo, plusieurs partis d’opposition ont dénoncé mercredi 27 mars une « forfaiture ».
La révision constitutionnelle adoptée par l’Assemblée nationale inaugure une cinquième République, dans laquelle le chef de l’État sera élu par le Parlement. Une nouvelle loi fondamentale qui est loin de faire l’unanimité.