Taxis iraniens pour Bamako
La stratégie commerciale en Afrique de l’Ouest du constructeur automobile Khodro se dessine. Le groupe public iranien a installé une usine d’assemblage à Thiès, au Sénégal, où il compte assembler 10 000 voitures par an (voir p. 73). En mars, lors du sommet de l’OCI à Dakar, Khodro a vendu 300 taxis. Fin mai, son directeur général s’est rendu à Bamako pour un programme similaire, concernant 500 taxis dans un premier temps, 20 000 à terme. Le groupe iranien et le réseau des caisses d’épargne et de crédit Jemeni ont créé une centrale d’achat qui va acquérir les véhicules pour les revendre à la coopérative des taxis du Mali.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Jeune Afrique utilise votre adresse e-mail afin de vous adresser des newsletters.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- Aérien : pourquoi se déplacer en Afrique coûte si cher ?
- Au Bénin, arrestation de l’ancien directeur de la police
- Algérie : Lotfi Double Kanon provoque à nouveau les autorités avec son clip « Ammi...
- L’Algérie doit-elle avoir peur de Marco Rubio, le nouveau secrétaire d’État améric...
- Pourquoi l’UE s’apprête à accorder un nouveau soutien à l’intervention rwandaise a...