Destruction ou rachat ?
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Le Goush Katif compte 7 000 habitants et près de 2 000 maisons. En moyenne, chaque famille évacuée devrait recevoir 350 000 dollars (263 000 euros) par habitation, ainsi qu’une aide au reclassement. Reste à savoir ce que vont devenir les maisons abandonnées par les colons. Pour l’instant, deux scénarios ont été envisagés.
Le gouvernement a d’abord songé à raser l’ensemble des bâtiments, mais le coût de l’évacuation des gravats atteindrait plus de 30 millions d’euros. L’opération pourrait de surcroît allonger la durée du désengagement.
Au mois de mars dernier, un milliardaire de Dubaï qui dirige une société immobilière basée dans les territoires a offert de racheter l’ensemble des bâtiments pour 56 millions d’euros. Pour l’instant, la proposition n’a pas été écartée.
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