Maroc-Mali : le jour où Mohammed VI a évité le pire
Une médiation entre l’imam malien Mahmoud Dicko et le président Ibrahim Boubacar Keïta a été discrètement pilotée depuis Rabat. En voici les détails exclusifs.
![Le roi Mohammed VI, en mars 2020. © MAP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2020/07/17/jad20200717-conf-maroc.jpg)
Le roi Mohammed VI, en mars 2020. © MAP
Au lendemain des violentes manifestations du 10 juillet, qui ont embrasé une partie de Bamako et fait quatorze morts et plus d’une centaine de blessés, le ministre marocain des Affaires étrangères Nasser Bourita a, sur instructions précises du roi Mohammed VI, piloté depuis Rabat une discrète médiation entre le leader du Mouvement du 5 juin, l’imam Mahmoud Dicko, et le président Ibrahim Boubacar Keïta (IBK).
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