Le MBA ouvre les portes

Publié le 17 février 2004 Lecture : 1 minute.

Tout le monde n’a pas la chance d’être employé dans un groupe à la pointe des ressources humaines. Pour ceux qui travaillent dans une société un peu « poussiéreuse », tout espoir n’est pas perdu. Mais il faut alors se lancer dans une formation complémentaire, en général avec ses propres économies. Une année passée à décrocher un MBA (Master of Business Administration), cette formation d’origine américaine devenue internationale, peut être un bon investissement. Surtout dans les métiers de la gestion, de la vente, du marketing et de la finance.
Le passage par les États-Unis, à Wharton ou à Harvard, n’est plus obligatoire. Le classement mondial établi par la quotidien The Financial Times montre que le MBA de l’Insead (à Fontainebleau, en France) ou celui de la London School of Economics comptent parmi les meilleurs. Pour ceux qui optent pour un MBA dans un pays africain, il est nécessaire de vérifier qu’il bénéficie d’accréditations comme celle de l’AACSB (American Assembly of Collegiate Schools of Business), de l’AMBA (Association of Masters in Business Management, britannique) ou du label Equis (European Quality and Improvement System), gages de sérieux auprès des recruteurs. Car ces formations, qui sont très onéreuses, obligent souvent à prendre une année sabbatique ou bien même à démissionner. Dans bien des cas, le jeu en vaut quand même la chandelle.

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