À bout de souffle

Publié le 16 février 2004 Lecture : 1 minute.

L’Émirati Mohamed Ali Bujsaim a longtemps été considéré comme l’un des meilleurs arbitres de la planète. Lors du Mondial 2002, à Séoul, il a même eu l’honneur de diriger le match d’ouverture France-Sénégal. Que n’a-t-il pris sa retraite après sa glorieuse campagne asiatique ! Lors de la CAN 2004, ses prestations ont été à tous égards calamiteuses. Le 31 janvier, à Monastir, il a totalement faussé le résultat du match Nigeria-Afrique du Sud en sanctionnant Aaron Mokoena, le défenseur des Bafanas Bafanas, d’un penalty
imaginaire. Sans état d’âme, Jay Jay Okocha exécuta la sanction… Même arbitrage approximatif, le 3 février, toujours à Monastir, lors de Cameroun-Égypte (1-1), et, quatre
jours plus tard à Radès, lors du tumultueux quartde finale Tunisie-Sénégal. Trois matchs en huit jours pour un quadragénaire en petite forme, c’était sans doute beaucoup.

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