Morales retarde
Avant son investiture, le 22 janvier, Evo Morales, le nouveau président bolivien, fait la tournée des grandes capitales étrangères. À Pékin, vêtu d’un simple polo et d’une veste de cuir, il a rencontré le président Hu Jintao, au palais du Peuple. La Chine est un « allié politique, idéologique et pratique de la Bolivie », a-t-il commenté. Selon lui, le programme de nationalisations qu’il s’apprête à engager n’est pas sans évoquer le communisme. Imperturbable dans son costume-cravate, le numéro un chinois a poliment opiné. Sans souffler mot des privatisations en cours dans son pays depuis dix ans.
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