En échec à Douala et Abidjan, Heetch garde le cap sur l’Afrique

La start-up française de VTC attend la réouverture des frontières pour lancer deux nouveaux marchés subsahariens.

Après avoir levé plus de 35 millions d’euros en 2019, la start-up française doit prendre son mal en patience pour poursuivre son développement. © Heetch

Après avoir levé plus de 35 millions d’euros en 2019, la start-up française doit prendre son mal en patience pour poursuivre son développement. © Heetch

QUENTIN-VELLUET_2024

Publié le 30 juillet 2020 Lecture : 2 minutes.

Teddy Pellerin trépigne d’impatience. Le cofondateur de l’application française de chauffeurs déjà présente au Maroc et en Algérie est prêt à lancer deux nouveaux marchés en Afrique subsaharienne. S’il ne dévoile pas le nom des pays choisis un lancement au Sénégal était néanmoins prévu pour fin 2019 -, cet ingénieur électrique assure que les partenaires sont prêts et que les coentreprises sont créées. Ne reste plus pour lui qu’à se rendre sur place pour les derniers réglages.

Mais les frontières demeurent fermées à cause de la crise sanitaire, et l’entrepreneur doit se résigner : « Nous avons tout essayé, même de négocier avec les ambassades mais rien n’y fait, nous devons attendre, c’est comme ça », regrette-t-il.

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