L’ex-cabinet de Dupond-Moretti en quête de nouveaux dossiers en Afrique
Depuis qu’Éric Dupond-Moretti a été nommé ministre français de la Justice, son ancien associé, Antoine Vey, dirige seul leur cabinet. L’Afrique pourrait y prendre une place encore plus importante.
![Le ministre français de la Justice, Eric Dupond-Moretti, à Paris, le 11 juillet 2020. © JULIE DOUXE/newspictures](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2020/08/06/jad20200806-conf-ericdupondmoretti.jpg)
Le ministre français de la Justice, Eric Dupond-Moretti, à Paris, le 11 juillet 2020. © JULIE DOUXE/newspictures
Depuis le 6 juillet, Éric Dupond-Moretti n’est plus avocat. « Honni » du barreau, il a quitté son cabinet, Dupond-Moretti et Vey, dans lesquels il ne possède désormais plus de parts, afin d’éviter toute accusation de conflit d’intérêts avec sa nouvelle fonction de ministre français de la Justice.
Il avait d’ailleurs déjà discuté, avec son désormais ex-associé Antoine Vey, de l’avenir de leur association. Il se savait en effet, avant le 6 juillet, sur une « short-list » dans l’éventualité d’un remaniement gouvernemental.
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