Mali : qu’attendent les partis politiques des militaires au pouvoir ?
Au lendemain de la démission forcée d’Ibrahim Boubacar Keïta, des milliers de personnes ont célébré vendredi à Bamako la « victoire du peuple malien ». Les putschistes ont entamé des discussions avec les partis politiques et la société civile.
![Un représentant de la junte salue la foule en liesse venue célébrer le départ d’Ibrahim Boubacar Keïta, le 21 août 2020. © AP/Sipa](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2020/08/22/sipa_ap22485113_000008.jpg)
Un représentant de la junte salue la foule en liesse venue célébrer le départ d’Ibrahim Boubacar Keïta, le 21 août 2020. © AP/Sipa
Ils ont poussé le président malien à la démission. À présent, tout reste à faire. Les militaires du Comité national du salut du peuple (CNSP), maîtres d’œuvre de la chute d’IBK, ont débuté dès mercredi les consultations avec « les forces vives de la nation » afin de préparer une période de « transition politique civile », qu’ils ont promis rapide.
Un « vaste chantier », admet le porte-parole du
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