Mali : qu’attendent les partis politiques des militaires au pouvoir ?

Au lendemain de la démission forcée d’Ibrahim Boubacar Keïta, des milliers de personnes ont célébré vendredi à Bamako la « victoire du peuple malien ». Les putschistes ont entamé des discussions avec les partis politiques et la société civile.

Un représentant de la junte salue la foule en liesse venue célébrer le départ d’Ibrahim Boubacar Keïta, le 21 août 2020. © AP/Sipa

Un représentant de la junte salue la foule en liesse venue célébrer le départ d’Ibrahim Boubacar Keïta, le 21 août 2020. © AP/Sipa

Aïssatou Diallo. MARIEME-SOUMARE_2024

Publié le 22 août 2020 Lecture : 6 minutes.

Ils ont poussé le président malien à la démission. À présent, tout reste à faire. Les militaires du Comité national du salut du peuple (CNSP), maîtres d’œuvre de la chute d’IBK, ont débuté dès mercredi les consultations avec « les forces vives de la nation » afin de préparer une période de « transition politique civile », qu’ils ont promis rapide.

Un « vaste chantier », admet le porte-parole du

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