L’ex-rébellion et l’affaire « IB »
![](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,height=810,fit=cover/medias/default.png)
La plupart des membres de la direction des Forces nouvelles (les ex-rebelles) ne se réjouissent pas des manifestations en faveur du sergent-chef Ibrahim Coulibaly, dit « IB ». Ils ne souhaitent pas – loin s’en faut – que leurs partisans fassent du sous-officier, qui passe pour être leur mentor, un mythe. D’autant qu’ils restent persuadés que ce dernier n’envisageait rien de moins que de les marginaliser pour prendre en main le mouvement auquel il reprocherait de l’avoir oublié, notamment depuis la signature des accords de Marcoussis, à la fin de janvier dernier. Mais ils sont confrontés à une difficulté : comment convaincre les militants de la base que « IB » n’est plus celui qu’ils croient ?
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- L’État algérien accélère la cadence pour récupérer les biens mal acquis
- Pour la première fois, Mahamadou Issoufou condamne le coup d’État du général Tiani
- Amnesty International demande l’arrêt des expulsions forcées à Abidjan
- Au Niger, Abdourahamane Tiani et la stratégie assumée de l’« anti-France »
- M23 en RDC : cinq questions pour comprendre pourquoi le conflit s’enlise