Total face aux défis sécuritaires de son mégaprojet gazier mozambicain
Le pétrolier français et Maputo ont renforcé leur accord de protection des installations gazières, qui prévoit notamment un soutien logistique aux forces de l’ordre mozambicaines.
![Combattants et armes des insurgés ismalistes mozambicains suite aux affrontements du 6 août 2020, près de Mocimboa da Praia. © AP/sipa](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2020/08/26/sipa_ap22486241_000003.jpg)
Combattants et armes des insurgés ismalistes mozambicains suite aux affrontements du 6 août 2020, près de Mocimboa da Praia. © AP/sipa
Après l’attaque d’un groupe islamiste armé, qui a repris le 12 août la ville portuaire de de Mocimboa da Praia, dans la province du Cabo Delgado, Total et Maputo ont discuté activement puis annoncé le 25 août avoir musclé leur accord de protection des installations gazières dans cette région politiquement sensible, où le groupe extractif mène depuis septembre 2019 le mégaprojet gazier Mozambique GNL, repris à l’américain Anadarko.
Une première mouture de cet accord sécuritaire avait été signée le 1er mars 2019 par son prédécesseur.
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