Polémique au Niger autour d’une commission
![](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,height=810,fit=cover/medias/default.png)
La désignation des deux représentants de la société civile au sein de la Commission nationale des droits de l’homme (CNDLH) suscite toujours une vive polémique au Niger. Après avoir adressé au début du mois une lettre au gouvernement pour dénoncer une « mascarade », un collectif d’associations envisage de déposer un recours en annulation « pour excès de pouvoir » auprès de la Cour suprême. « Ce collectif n’est pas enregistré par les services de l’État, répond le ministre chargé des Relations avec les institutions. En revanche, les deux autres organisations retenues pour siéger au sein de la CNDLH respectaient ces conditions.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Jeune Afrique utilise votre adresse e-mail afin de vous adresser des newsletters.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- L’État algérien accélère la cadence pour récupérer les biens mal acquis
- Pour la première fois, Mahamadou Issoufou condamne le coup d’État du général Tiani
- Amnesty International demande l’arrêt des expulsions forcées à Abidjan
- Au Niger, Abdourahamane Tiani et la stratégie assumée de l’« anti-France »
- M23 en RDC : cinq questions pour comprendre pourquoi le conflit s’enlise