L’effet sécheresse
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Coup dur pour l’économie marocaine. Alors que la flambée des prix du pétrole a engendré des dépenses non programmées, les effets de la sécheresse se font de plus en plus sentir. Les prévisions qui ont servi à l’élaboration de la loi de finances 2005 misaient sur une récolte de 60 millions de quintaux, mais la campagne ne devrait pas dépasser les 45 millions. Du coup, la dernière note du gouvernement revoit une nouvelle fois à la baisse la croissance qui atteindrait péniblement 1,6%. Heureusement, le pays devrait enregistrer une hausse des investissements directs étrangers avec la cession d’une partie des parts de l’Etat dans Maroc Telecom et dans les industries sucrières.
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