Présidentielle 2023 en RDC : ce que le « G13 » a proposé à Tshisekedi

Scrutin présidentiel à deux tours, dépolitisation de la Ceni, financement du processus électoral… Les signataires de « L’Appel du 11 juillet » ont présenté ce lundi leurs conclusions au président Félix Tshisekedi. « Jeune Afrique » a eu accès à leur rapport.

Le siège de la Ceni à Kinshasa, en 2017. © John Wessels/AFP

Le siège de la Ceni à Kinshasa, en 2017. © John Wessels/AFP

ROMAIN-GRAS_2024

Publié le 14 septembre 2020 Lecture : 3 minutes.

Échanges avec l’ancien président de la Ceni, Corneille Nangaa, avec les opposants de Lamuka et avec le cardinal Fridolin Ambongo… Pendant plus d’un mois, du 28 juillet au 29 août, les treize signataires de « L’Appel du 11 juillet » ont multiplié les rencontres.

Surnommé le « G13 », ce groupe informel rassemble des personnalités de tous bords et des représentants de la société civile. Il s’est donné pour mission de plaider pour l’organisation d’un forum national pour définir les réformes électorales à mener avant les prochains scrutins, prévus en 2023.

L’initiative a été lancée mi-juillet, en pleine période de tensions autour de la désignation du futur président de la Ceni, et ses conclusions ont été présentées ce lundi 14 septembre au président Félix Tshisekedi, à la veille de l’ouverture de la session parlementaire.

Dans un rapport détaillé d’une cinquantaine de pages que Jeune Afrique a pu consulter, les membres du G13 listent les principales conclusions de leurs échanges avec les uns et les autres et compilent les points de convergence.

Une Ceni moins politique

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