BGFI et Ecobank en soutien de la dette domestique du Congo
Mené par le patron de BGFI, Henri-Claude Oyima, un groupe d’institutions financières mobilise près de 500 millions d’euros pour régler une partie des arriérés de l’État congolais.
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Henri-Claude Oyima, fondateur du Groupe BGFI Bank. © Eric Larrayadieu pour JA
Après le Club de Libreville en 2018 pour alléger la dette intérieure gabonaise, place au Club de Brazzaville pour traiter de celle du Congo. Le PDG gabonais du groupe BGFI, Henri-Claude Oyima, a annoncé le 19 septembre qu’un groupement d’intérêt économique (GIE) réunissant cinq institutions financières – BGFI, UBA, La Congolaise de Banque, Sino-Congolaise de Banque et Ecobank – avait mobilisé 300 milliards de F CFA (460 millions d’euros) pour «permettre de régler une partie de la dette intérieure du Congo». Le patron de BGFI, qui conduit ce GIE dénommé Club de Brazzaville, a précisé qu’il «ne s’agit pas des financements qu’on accorde directement à l’État mais de financements pour accompagner les entreprises et permettre la relance de l’économie du pays».
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