[Analyse] Djibouti : recherche opposition désespérément

C’est une opposition divisée, incapable de s’entendre sur une stratégie commune, qui se prépare à la présidentielle de 2021 à Djibouti.

L’Assemblée nationale djiboutienne, en février 2018. © Patrick Robert

L’Assemblée nationale djiboutienne, en février 2018. © Patrick Robert

OLIVIER-CASLIN_2024
  • Olivier Caslin

    Spécialiste des transports et des questions économiques multilatérales. Il suit également l’actualité du Burundi, de Djibouti et de Maurice.

Publié le 8 octobre 2020 Lecture : 2 minutes.

À six mois du scrutin présidentiel, l’opposition politique est toujours portée disparue à Djibouti. Seul visage aujourd’hui clairement identifié dans ce désert, celui d’Ilaya Ismaïl Guedi Hared. La fille de feu Ismaïl Guedi Hared, l’ancien leader de l’Union pour le salut national (USN), disparu en 2015, est officiellement chef de l’opposition parlementaire depuis son élection aux législatives de 2018… Sans que cela lui assure pour autant le leadership de ses différentes composantes à l’extérieur.

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