Côte d’Ivoire : pourquoi Alassane Ouattara est resté inflexible face à la Cedeao

La mission conjointe de la Cedeao, des Nations unies et de l’UA, conduite du 4 au 7 octobre à Abidjan par la ministre ghanéenne des Affaires étrangères, n’est pas parvenue à rapprocher les différentes parties. En voici les raisons.

Le président ivoirien, Alassane Ouattara, et la ministre ghanéenne des Affaires Etrangères, Shirley Ayorkor Botchway, le 5 octobre 2020, au palais présidentiel, à Abidjan © Présidence de la République de Côte d’Ivoire

Le président ivoirien, Alassane Ouattara, et la ministre ghanéenne des Affaires Etrangères, Shirley Ayorkor Botchway, le 5 octobre 2020, au palais présidentiel, à Abidjan © Présidence de la République de Côte d’Ivoire

Publié le 9 octobre 2020 Lecture : 1 minute.

Le chef de l’État ivoirien, Alassane Ouattara (ADO), s’est entretenu à deux reprises avec les membres de la mission conjointe, dirigée par la ministre ghanéenne des Affaires étrangères, Shirley Ayorkor Botchway. Selon nos informations, il s’est montré inflexible sur deux points. D’abord, sur le maintien de la date du scrutin présidentiel, toujours prévu le 31 octobre, mais aussi sur le respect des décisions prises par le Conseil constitutionnel.

Après avoir rencontré les différentes personnalités de l’opposition, la mission avait pourtant relayé auprès d’ADO leur souhait de repousser l’élection.

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