Guinée : pourquoi ADP et Africa50 croient au potentiel de Conakry-Gbessia

Formé en février, le consortium – qui dispose d’une concession de vingt-cinq ans – a récemment posé la première pierre de la plateforme aéroportuaire dont les travaux doivent durer deux ans.

Salle d’embarquement de l’aéroport de Conakry-Gbessia, ici en janvier 2012. © Joelguinea/Wikipeia/Licence CC

Salle d’embarquement de l’aéroport de Conakry-Gbessia, ici en janvier 2012. © Joelguinea/Wikipeia/Licence CC

Rémy Darras © Francois Grivelet pour JA

Publié le 20 octobre 2020 Lecture : 2 minutes.

C’est le 10 octobre qu’a été posée la première pierre de la nouvelle aérogare de l’aéroport international Conakry-Gbessia, qui sera trois fois plus grande que l’actuelle, appelée à être démolie.

Cela faisait longtemps que le gouvernement souhaitait moderniser cette infrastructure, devenue vétuste. Pour cela, il a approché il y a deux ans le fonds Africa 50, créé par la BAD, pour restructurer la concession, en voie d’expiration, qui s’apparentait jusque-là plus à un contrat d’assistance technique, et dans laquelle l’investissement était surtout assuré par l’État.

Un secteur privé majoritaire

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