Guinée : pourquoi ADP et Africa50 croient au potentiel de Conakry-Gbessia
Formé en février, le consortium – qui dispose d’une concession de vingt-cinq ans – a récemment posé la première pierre de la plateforme aéroportuaire dont les travaux doivent durer deux ans.
C’est le 10 octobre qu’a été posée la première pierre de la nouvelle aérogare de l’aéroport international Conakry-Gbessia, qui sera trois fois plus grande que l’actuelle, appelée à être démolie.
Cela faisait longtemps que le gouvernement souhaitait moderniser cette infrastructure, devenue vétuste. Pour cela, il a approché il y a deux ans le fonds Africa 50, créé par la BAD, pour restructurer la concession, en voie d’expiration, qui s’apparentait jusque-là plus à un contrat d’assistance technique, et dans laquelle l’investissement était surtout assuré par l’État.
Un secteur privé majoritaire
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