Échange de bons procédés
L’Union européenne s’est félicitée, le 7 août, du feu vert donné par les autorités togolaises au travail de deux rapporteurs spéciaux des Nations unies – ils se pencheront sur la torture et les exactions extrajudiciaires – ainsi qu’à l’installation en septembre d’un bureau du Haut-Commissariat aux droits de l’homme dans la capitale, Lomé. En contrepartie, l’UE a décidé de débloquer 15,8 millions d’euros qui devront être affectés à la « dynamisation des filières agricoles ».
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