Présidentielle américaine : l’influence des États arabes en question
Alors que plusieurs pays arabes, dont le Maroc, sont friands des think-tanks américains, ces derniers voient leurs financements de plus en plus surveillés par les États Unis. Un contrôle qui devrait se renforcer après la présidentielle.
![K-Street, dans le nord-ouest de Washington, où sont situés de nombreux think-thanks. © J. Scott Applewhite/AP/SIPA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2020/10/30/jad20201030-mmo-usa-elections-washington-k-street-photo2.jpg)
K-Street, dans le nord-ouest de Washington, où sont situés de nombreux think-thanks. © J. Scott Applewhite/AP/SIPA
À la veille de l’élection présidentielle américaine, le secrétaire d’État, Mike Pompeo, a exhorté le 13 octobre les groupes de réflexion à être plus transparents sur les sources de financements étrangers.
Alors qu’il pointait surtout la Russie et la Chine, qui chercheraient à peser de tout leur poids sur ces influentes entités, le rapport 2020 du Center for International Policy décrit une autre
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