Des femmes au chevet du Moyen-Orient
Publié le 15 mai 2007 Lecture : 1 minute.
La ministre autrichienne des Affaires européennes et internationales, ?Ursula Plassnik, souhaite organiser à Vienne, au mois de juin, une réunion de femmes exerçant d’importantes responsabilités politiques et qui pourraient avoir un regard neuf sur les problèmes du Moyen-Orient.
Elle a déjà obtenu un accord de principe de la secrétaire d’État américaine Condoleezza Rice, de Tzipi Livni, ministre israélienne des Affaires étrangères, de Micheline Calmy-Rey, présidente de la Confédération helvétique, de Benita Ferreiro-Waldner, commissaire européenne chargée des Relations extérieures. Les présidentes de la Lettonie, du Chili, du Liberia, de la Finlande, de l’Irlande, pourraient se joindre à la réunion, de même que Haya Rashed Al-Khalifa, la ministre bahreïnie qui préside l’Assemblée générale de l’ONU, et Sonia Gandhi, présidente du parti du Congrès indien.
Les problèmes essentiels que rencontre Vienne se situent dans le monde arabe, où peu de femmes exercent des responsabilités politiques. Ce sont donc des épouses, filles ou surs de présidents et de souverains qui sont sollicitées.
