Comment Olam a redonné de la vigueur au coton tchadien

Après avoir racheté 60 % de CotonTchad en 2018, le géant singapourien en a apuré les dettes et semble avoir réussi à remotiver les cotonculteurs.

Production de coton dans la région de Doba, au Tchad. © Frederic NOY

Production de coton dans la région de Doba, au Tchad. © Frederic NOY

Madjiasra Nako

Publié le 3 décembre 2020 Lecture : 3 minutes.

En avril 2018, l’État a ouvert le capital de CotonTchad SN. Le géant singapourien Olam a racheté 60 % des parts de la société pour plus de 9 milliards de F CFA (près de 14 millions d’euros), l’État en a gardé 35 %, et 5 % ont été cédés aux producteurs.

La nouvelle direction a apuré les dettes et semble avoir réussi à remotiver les cotonculteurs. À l’heure où s’engage la deuxième campagne depuis la reprise de la société, comment la filière textile tchadienne résiste-t-elle aux effets de la pandémie de Covid-19 ?

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