Les Sénégalais ne veulent pas du commandement
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Le chef de l’État sénégalais Abdoulaye Wade a informé, début avril, son homologue ivoirien Laurent Gbagbo de la décision de son pays de ne pas assumer pendant toute la durée des opérations, comme convenu, le commandement en chef des troupes de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) en Côte d’Ivoire. Wade propose un « commandement alterné » ouvert aux officiers des autres pays ouest-africains (Bénin, Ghana, Niger et Togo) impliqués dans cette opération de maintien de la paix. Laurent Gbagbo ne désespère pas de persuader son « grand-frère » sénégalais de revenir sur sa décision.
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