Cette semaine dans Jeune Afrique
Dans le cadre de la campagne présidentielle algérienne, l’édition n° 2779 de « Jeune Afrique » s’intéresse de près aux thèmes pourtant essentiels qui n’ont pas été abordés par les candidats : corruption, investissements étrangers, diversification des activités ou encore fin de l’économie de rente.
Cette semaine dans Jeune Afrique, un focus sur les thèmes économiques ignorés lors de la campagne présidentielle en Algérie. DR
Publié le 14 avril 2014 Lecture : 1 minute.
Dans son édition n°2779 du 13 au 19 avril, Jeune Afrique analyse la stratégie d’évitement de l’Algérie à propos des principaux sujets stratégiques quant à l’avenir du pays, à quelques jours de la fin de la campagne présidentielle : corruption, investissements étrangers, diversification des activités ou encore fin de la rente. Le grand absent de ces débats, c’est bel et bien l’économie.
Dans la section Entreprises & marchés, l’hebdomadaire revient sur le lancement de l’enseigne Yass par le groupe hôtelier Mangalis. Cette gamme d’établissements low cost vient compléter les marques existantes : Seen, imaginée comme économique et désormais moyen de gamme, ainsi que Noom, qui se situe dans le haut de gamme.
Jeune Afrique a également interviewé Franck Legré, directeur général Afrique d’Air France-KLM. Celui-ci préconise un positionnement haut de gamme pour faire face à la concurrence européenne et moyen-orientale sans entrer dans une guerre des prix.
Le magazine fait également un point sur la stratégie du groupe marocain Saham, qui jette son dévolu sur un secteur très porteur : les cliniques.
Dans les Indiscrets de cette semaine, Jeune Afrique annonce la rencontre prochaine, à Ouagadougou, de Vincent Bolloré et de Franck Timis, son concurrent direct pour la réhabilitation, l’extension et l’exploitation de l’axe ferroviaire Abidjan-Ouagadougou.
Dans les pages Décideurs, l’hebdomadaire dresse le portrait du Béninois Jean-Baptiste Satchivi, le nouveau président de la Chambre de commerce et d’industrie du pays d’Afrique de l’Ouest. Celui-ci s’est donné cent jours pour redresser l’organisation qu’il dirige.
Enfin, en section Finance, Jeune Afrique expose les enjeux liés à l’émission obligataire de 1 milliard de dollars de la Zambie, qui emprunte à un taux plus élevé qu’en 2012 dans un contexte moins favorable, que ce soit sur un plan national ou international.
Sommaire
Entreprises & marchés
Algérie – La stratégie de l’évitement
Hôtellerie – Mangalis a foi en ses étoiles
Interview – Franck Legré, directeur général Afrique d’Air France-KLM
Santé – Saham passe au bistouri
Indiscrets
Décideurs
Bénin – Jean-Baptiste Satchivi, militant économique
Finance
Émission obligataire – Chère Zambie
