Les répliques les plus drôles du cinéma (I)

Publié le 13 octobre 2003 Lecture : 1 minute.

Jean-Claude Brialy est un très grand comédien français, universellement connu et apprécié.
Je vous ai donné à lire, en août 2000, des extraits de ses Mémoires.
Ses « Répliques les plus drôles du cinéma », parues il y a quelques mois, sont riches en trouvailles de style et autres drôleries dues aux meilleurs dialoguistes du cinéma mondial.
J’en ai sélectionné une série que je vais vous donner à lire, sur plusieurs semaines, en cadeau de « retour de vacances ».
B.B.Y.
C’est pas honteux d’être pauvre, mais c’est fatigant. (La Fille du puisatier)
Je suis porteur, c’est mon métier.
– Ce n’est pas un métier, c’est une injustice sociale.
– Ça dépend du pourboire. (Ninotchka)
Quelle heure est-il ?
– J’ai ma montre qui retarde de 42 francs… Elle est au clou !
(La Bandera)
Dites, c’est la première fois que je vois un Chinois qui parle yiddish.
– Ne lui dites rien, il croit qu’il apprend l’anglais. (Je hais les acteurs)
Combien de gens voudraient frauder le fisc et combien le fraudent ? Vous voyez, l’honnêteté est une faiblesse.
(Vidange)
Ma mère est morte quand j’avais 6 ans. Mon père m’a violée quand j’en avais 12…
– Ah… vous avez quand même eu six années relativement bonnes… (Arthur)
En d’autres termes, je suis renvoyé ?
– Pas en d’autres termes, ceux-ci sont parfaits. (Drôle de couple)
Être riche, ce n’est pas avoir de l’argent – c’est en dépenser.
(Le Roman d’un tricheur)

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