Procès des 100 jours en RDC : les dessous de la libération « surprise » des deux patrons

Condamnés à deux et cinq ans de prison dans le cadre du procès des 100 jours, Modeste Makabuza et Benjamin Wenga ont été libérés le 8 janvier, sans raison officielle. Voici pourquoi ils ont été libérés.

Félix Tshisekedi le jour de sa prestation de serment, le 24 janvier 2019, à Kinshasa © TONY KARUMBA / AFP

Félix Tshisekedi le jour de sa prestation de serment, le 24 janvier 2019, à Kinshasa © TONY KARUMBA / AFP

Publié le 11 janvier 2021 Lecture : 2 minutes.

La libération le 8 janvier de Modeste Makabuza et Benjamin Wenga, directeurs généraux de la Société congolaise de construction (Sococ) et de l’Office des voiries et drainage (OVD), a fait scandale à Kinshasa. Aucune raison officielle n’a été avancée, alors que les deux hommes ont été condamnés en juin 2020 pour détournement de deniers publics, concussion et corruption dans le cadre du procès des 100 jours, lors duquel Vital Kamerhe a écopé de vingt ans de prison. L’ancien directeur de cabinet de Félix Tshisekedi n’a lui pas recouvré sa liberté, tout comme ses co-accusés Samih Jammal et Muhima Ndole. 

Une décision de Tshisekedi

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