Comme chien et chat
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Les États-Unis n’apprécient guère la décision de l’Espagne de vendre des armes au Venezuela (montant de la transaction : 2 milliards de dollars). Et ils l’ont fait savoir. C’est peut-être la raison pour laquelle une délégation américaine emmenée par le député
Henry Hyde s’est vu refuser l’entrée du territoire vénézuélien, il y a quelques jours : leurs documents n’étaient, paraît-il, pas en règle. Arrivé à Caracas vingt-quatre heures auparavant pour signer le contrat d’armement, le ministre espagnol de la Défense n’avait, pour sa part, rencontré aucune difficulté.
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