Monnaie, dette, protectionnisme… L’Afrique se libère du « Consensus de Washington »
Après au moins une décennie de désastres économiques « importés » des pays « matures », l’Afrique fait entendre sa voix. Ce n’est pas trop tôt.
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Joël Té-Léssia Assoko
Joël Té-Léssia Assoko est journaliste spécialisé en économie et finance à Jeune Afrique.
Publié le 19 mars 2021 Lecture : 2 minutes.
Depuis près de dix ans, les divinités qui veillent sur les marchés se sont acharnées contre les économies africaines avec une malfaisance cosmique digne du livre de Job.
Des séquelles de la crise transatlantique des subprimes (2008-2011) à l’effondrement entre 2013 et 2016 des prix des matières premières (cuivre, fer, pétrole…) jusqu’aux dégâts infligés par le Covid-19, le continent a dû s’accommoder d’une succession de désordres économiques « importés » de l’extérieur.
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