Maroc : en perte de vitesse, Anas Sefrioui veut relancer Addoha en Afrique de l’Ouest (Côte d’Ivoire, Sénégal, Ghana)
En perte de vitesse depuis deux ans, le poids lourd de la bourse de Casablanca cible l’activité en dehors du royaume pour redresser la barre.
![Anas Sefrioui, président directeur du groupe Addoha, avec le président sénégalais Macky Sall, lors de la pose de la première pierre de la Cité de l’Émergence à Dakar en 2014. © Youri Lenquette pour JA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2017/03/31/rs54038_ja14100813570002-scr.jpg)
Anas Sefrioui, président directeur du groupe Addoha, avec le président sénégalais Macky Sall, lors de la pose de la première pierre de la Cité de l’Émergence à Dakar en 2014. © Youri Lenquette pour JA
En ce mois de février, le groupe Addoha a fait une nouvelle fois appel au marché obligataire pour s’endetter. Près de 600 millions de dirhams (55 millions d’euros) vont être levés par le promoteur immobilier, pour lesquels les équipes financières du groupe ont négocié un délai de deux ans pour le remboursement du capital afin de se donner un peu de répit.
Le secteur traîne un stock d’invendus immense
Cette nouvelle ligne de crédit a pour principal objectif de rallonger la maturité de la dette de la société qui s’élève à 4,8 milliards de dirhams au 30 septembre 2020.
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