Pour vivre heureux, il vit caché
Père de trois enfants, Ali Ben fait preuve d’une grande discrétion quant à sa vie privée.
![](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2008/05/13/009062009101256000000bongocache.jpg)
S’il n’est pas rare que, au détour d’une conversation, il se vante d’avoir « perdu quelques kilos », ses proches attribuent son embonpoint à son goût pour la bonne chère. Cependant, comme son physique ne l’indique pas, il est amateur de sport. Dans une autre vie, il pratiquait le tennis avec les copains de toujours. Amateur de foot, il ne se contente pas de taper dans le ballon quelques dimanches dans l’année. Il est aussi le promoteur de Missile FC, une formation militaire qui évolue en première division du championnat national de football. Avec M. Park, son homme à tout faire sud-coréen, il partage un penchant pour les arts martiaux. Et, de toute évidence, l’équipe de garde du corps qui assure sa protection est constituée de champions de tækwondo. Enfin, comme sa mère, qui a embrassé une carrière de chanteuse sous le nom de Patience Dabany après sa séparation d’avec Omar Bongo Ondimba, en 1986, Ali Ben a la fibre musicale. Guitariste à ses heures, il a également composé des chansons pour elle.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- Côte d’Ivoire : le vice-président Tiémoko Meyliet Koné, des amitiés au cœur du pouvoir
- Alice Riouall, la Burkinabè qui exporte ses mangues séchées en Europe
- Au Kenya, après Ruto, c’est au tour des gouverneurs de rendre des comptes
- Dans l’est de la RDC, la Monusco partie pour rester ?
- Requins à Agadir, orques à Gibraltar, le littoral marocain est-il vraiment envahi ?