Beyrouth : retour en enfer
Le 8 mai, dans la capitale libanaise, des miliciens chiites du Hezbollah font le coup de feu contre leurs adversaires progouvernementaux, tandis que l’armée se signale par son absence. Née d’une journée de revendications sociales vite marquée par de nombreux débordements, la situation politique du pays, toujours privé de présidence légitime, ne cesse de se dégrader.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Jeune Afrique utilise votre adresse e-mail afin de vous adresser des newsletters.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- Aérien : pourquoi se déplacer en Afrique coûte si cher ?
- Au Bénin, arrestation de l’ancien directeur de la police
- Algérie : Lotfi Double Kanon provoque à nouveau les autorités avec son clip « Ammi...
- L’Algérie doit-elle avoir peur de Marco Rubio, le nouveau secrétaire d’État améric...
- Pourquoi l’UE s’apprête à accorder un nouveau soutien à l’intervention rwandaise a...