En Afrique, le coronavirus a boosté le mobile money

Devenu le principal canal de l’aide financière contre les effets de la pandémie, le mobile money a consolidé son modèle en 2020 et obtenu des progrès réglementaires substantiels.

L’Afrique subaharienne compte 548 millions d’utilisateurs du mobile money en 2020. Ici, jeune femme sur son scooter consultant son téléphone portable à Ouagadougou, Burkina Faso. © Getty Images

L’Afrique subaharienne compte 548 millions d’utilisateurs du mobile money en 2020. Ici, jeune femme sur son scooter consultant son téléphone portable à Ouagadougou, Burkina Faso. © Getty Images

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Publié le 30 mars 2021 Lecture : 4 minutes.

C’était une projection aux allures de vœu pieux formulée il y a un an, alors que la pandémie de Covid-19 commençait à atteindre les côtes africaines. On prédisait une belle année au mobile money, à la faveur des mesures de restriction couvre-feux, confinements et distanciation physique imposées par les différents gouvernements pour maîtriser la diffusion du virus. Et cette projection, selon le dernier rapport sur le secteur publié par l’association GSMA, le lobby mondial des télécoms, s’est bel et bien réalisée.

Gain de confiance

Au cours de l’année passée, les services de mobile money comme M-Pesa ou Orange Money, déjà développés dans un grand nombre de pays, ont franchi un nouveau cap : gagnant la confiance des pouvoirs publics, ils sont devenus des partenaires clés dans la distribution d’aides financières en réponse à la crise sanitaire.

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