Ils ont dit

Publié le 12 décembre 2006 Lecture : 2 minutes.

Condoleezza Rice
Secrétaire d’État américaine
– Bien sûr que nous avons fait des erreurs en Irak ! Quand je retournerai à l’université Stanford et que je regarderai en arrière, j’écrirai des livres sur tout ce que nous aurions pu faire différemment.

Robert Gates
Secrétaire américain à la Défense
– Une action militaire contre l’Iran ne pourrait être décidée qu’en tout dernier ressort. Les conséquences d’un conflit armé risqueraient d’être dramatiques. Nous avons vu en Irak qu’une fois la guerre engagée elle devient imprévisible.

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Mohamed El-Baradei
Directeur de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA)
– Plus les Iraniens et les Coréens du Nord se sentiront menacés, plus ils accéléreront leurs programmes d’armement nucléaire. Il faut les admettre à nouveau dans la communauté internationale.

Hugo Chavez
Président vénézuélien
– Je suis le peuple vénézuélien.

Raul Castro
Frère et successeur désigné de Fidel
– Nous sommes disposés à nous asseoir autour d’une table pour tenter de résoudre le vieux différend entre les États-Unis et Cuba, sur la base de l’égalité, de la réciprocité, de la non-ingérence et du respect mutuel.

Laurent Dona-Fologo
Président du Conseil économique et social ivoirien
– Avec la fin du mandat de Chirac et son départ de l’Élysée, la situation ne peut que s’arranger entre la France et la Côte d’Ivoire, c’est mécanique. Cela ne peut pas être pire.

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Ségolène Royal
Candidate socialiste à la présidence française
– J’ai pris l’engagement que la lutte contre la violence faite aux femmes devienne une affaire d’État. Ce sera le premier texte dont le nouveau Parlement sera saisi.

Clémentine Autain
Adjointe au maire de Paris
– Ségolène Royal cristallise la profonde envie de changement. Mais son social-libéralisme teinté d’ordre moral, c’est du blairisme en charentaises.

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Bernard Maris
Économiste français
– Si l’on calcule ce que les immigrés ont apporté à la croissance française depuis 1945, je crois qu’on peut leur en rendre un petit peu.

Joseph Kabila
Président de la RD Congo
– Désormais, la corruption sera considérée comme une forme de criminalité. Elle sera combattue avec détermination.

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