Pour les petites familles

Publié le 12 octobre 2004 Lecture : 1 minute.

Lancée en 2001, la Liana, dont le nom est l’acronyme de « Life in a new age », vient d’être remodelée : nouveau dessin qui fait de cette voiture, que Suzuki présente comme une berline « monovolume », un petit break ; nouvel intérieur, avec une finition en progrès ; et, surtout, apparition au catalogue d’un moteur diesel. Des modifications en profondeur qui font de cette voiture, assez décevante dans sa première version, une petite familiale attractive.
Au chapitre des bons points, citons la position de conduite et l’amélioration de la
lisibilité du tableau de bord. Comme points faibles : l’absence de réglage en profondeur
du volant et le revêtement des sièges, désagréable dès que la température monte (l’option climatisation s’impose), et le volume réduit du coffre.
La nouvelle Liana existe en deux roues motrices, avec un moteur à essence de 1,3 litre ou un diesel de 1,4 l., chacun d’eux développant 90 chevaux, et en 4×4 avec un moteur à essence de 1,6 l. À 106 chevaux.
Nous avons pu essayer la version diesel. Son moteur est un PSA-Ford, ce qui n’empêche pas le constructeur de le désigner sous le sigle DDiS (Diesel direct injection by Suzuki). Comme tous les moteurs Diesel modernes, celui de la Liana dispose d’un couple élevé dès les bas régimes, ce qui rend la conduite particulièrement agréable, avec des reprises confortables. Le poids de la voiture n’étant pas très élevé, sa puissance est suffisante.
Dernier point : la Liana, qui n’est proposée qu’en une seule finition, est particulièrement bien équipée.

La Matinale.

Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.

Image

Contenus partenaires