Maurizio Caio (TLcom) : « L’Afrique francophone manque d’appétit pour le risque »
Le capital-risqueur, actionnaire du « Uber pour camions africain » Kobo360, souhaite voir plus de ses concurrents présents sur le continent.
![Maurizio Caio, fondateur et managing partner de TLcom. © TLcom](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2021/05/04/jad20210504-eco-maurizio-caio-tlcom.jpg)
Maurizio Caio, fondateur et managing partner de TLcom. © TLcom
Alors qu’il entame la levée du prochain fonds consacré au continent africain de la société d’investissement qu’il a lancée en 1999, avec un premier ancrage en Afrique en 2014, Maurizio Caio est sur la brèche.
Le financier d’origine italienne, ancien de Bain & Company et de McKinsey, veut aller plus vite, plus loin que la stratégie qu’il a menée jusque-là avec son premier fonds, Tide Africa Fund.
Ciblant près de 150 millions de dollars pour son nouveau véhicule, il espère renouveler le succès qu’il a obtenu en début d’année 2020, attirant à son tour de table CDC Group, IFC et Proparco. Mais cette fois, il entend concrétiser un quart de sa levée avant la fin de 2021 et démarrer les premiers investissements dans la foulée.
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