Cinq heures pour finaliser le document

Publié le 11 avril 2005 Lecture : 1 minute.

Dans l’après-midi du mardi 5 avril, Mojanku Gumbi et Solomon Sokupa, l’envoyé spécial de Thabo Mbeki en Côte d’Ivoire, ont commencé à rédiger les dix-huit points de l’accord, sur la base des notes qu’ils étaient chargés de prendre pendant le huis clos. L’équipe du Premier ministre Seydou Elimane Diarra s’est jointe à eux pour s’atteler, concomitamment, à la version française du texte. Les deux Sud-Africains s’exprimant peu en français, et Éric Koffi étant l’un des seuls à l’aise en anglais dans l’équipe de Diarra, les deux interprètes ont fait le lien. Les deux versions étaient prêtes à 3 heures du matin. Elles ont été transmises, par porteur, aux cinq chefs de délégation rentrés à l’hôtel, qui les ont étudiées pour présenter leurs commentaires à 8 h 30, dès leur arrivée à la résidence. Il leur aura fallu cinq

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