Cinéma : une guerre d’Algérie interminable
Plusieurs films reviennent sur le conflit colonial qui ne semble pas s’être achevé en 1962. Parmi eux, « Des Hommes », de Lucas Belvaux, explore les traumas profonds liés à cette période et toujours présents dans le corps social.
![« Des Hommes », acteurs, souvent à leur corps défendant, d’un conflit ultraviolet en Algérie © David Koskas/Synecdoche/Artemis Prod](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2021/06/02/jad20210602-cm-cinema-des-hommes-01.jpg)
« Des Hommes », acteurs, souvent à leur corps défendant, d’un conflit ultraviolet en Algérie © David Koskas/Synecdoche/Artemis Prod
Comme les polémiques autour du rapport Stora qui n’ont jamais cessé depuis sa parution en janvier 2021 l’ont montré, la guerre d’Algérie, à travers ses effets directes ou indirects sur les mémoires, est loin d’être finie, près de soixante ans après le cessez-le-feu de 1962. En France comme en Algérie. En témoigne également le septième art, et en particulier aujourd’hui le cinéma français à l’heure
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