Les répliques les plus drôles du cinéma (V)
Publié le 12 novembre 2003 Lecture : 1 minute.
Vous êtes acteur ? Et où peut-on vous voir ?
– Chaque vendredi à 11 heures. À l’agence pour l’emploi. (Fleur de cactus)
Un article de journal doit être aussi long qu’une jupe de femme – suffisamment étendu pour couvrir le sujet, suffisamment court pour susciter l’intérêt. (The Courtship of Andy Hardy)
Tu crois que je te plairais si j’étais pauvre ?
– Tu me plais comme tu es, avec ton argent. (L’Amant)
Une couche-partout, une garce pour qui tous les hommes sont bons. […] En fin de compte, ces femmes trouvent toujours preneur. Tout le monde visite et un imbécile finit par acheter. (Maigret tend un piège)
Tu l’aimes. Mais tu l’aimes combien ? On est en Occident, la réponse est forcément capitaliste. (L’important c’est d’aimer)
Combien me donnez-vous ?
– Pour faire l’amour ?
– Non, comme âge.
– Vous avez l’air d’avoir 40 ans… depuis une dizaine d’années.
(Donne-moi tes yeux)
Ne voyez-vous donc pas que je vous aime et que je veux que vous deveniez le père de mes enfants ?
– Ah, je ne savais pas que vous en aviez… (La du Barry était une dame)
J’ai été sur plus de genoux qu’une serviette ! (Je ne suis pas un ange)
Est-ce que tu as un pistolet dans la poche ou est-ce que tu es simplement content de me revoir ? (Myra Breckinridge)
