Vers un rapatriement des capitaux arabes
Selon un rapport du Centre des études politiques et stratégiques que patronne le quotidien Al-Ahram, au Caire, les avoirs arabes déposés dans des banques étrangères (1 413 millions de dollars pour les seuls pays du Golfe) sont de plus en plus exposés à la menace d’un gel ou, à tout le moins, à l’ouverture d’enquêtes sur leur provenance.
Difficile, pourtant, d’imaginer que les investisseurs arabes rapatrient leurs fonds tant qu’ils n’auront pas repris confiance dans les systèmes financiers locaux.
Neuf pays cumuleraient à eux seuls 88 % du montant des investissements arabes à l’étranger. Il s’agit, par ordre d’importance, des Émirats arabes unis, de l’Arabie saoudite, de Bahreïn, du Koweït, de la Syrie, de l’Égypte, du Liban, de la Libye et de la Jordanie.
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