Clio, une petite qui a grandi bien vite

Publié le 10 octobre 2005 Lecture : 1 minute.

Pour Renault, le lancement de la Clio III revêt une importance capitale, cette voiture étant un des éléments essentiels de la réussite de la marque. Il fallait que le nouveau modèle marque une évolution positive par rapport au précédent, tout en se montrant meilleur que la concurrence. Le résultat paraît convaincant. La ligne s’inscrit dans la continuité, les équipements et la finition sont d’une qualité évidente. Parmi les principales différences avec la Clio II, la nouvelle venue affiche 17 cm de plus en longueur, ce qui pourrait la faire changer de catégorie si ses concurrentes ne suivaient la même évolution ; elle reste quand même – de justesse – sous la barre des 4 mètres.
On a le choix entre huit motorisations, cinq à essence et trois diesels. En essence : 1,2 litre, 65 chevaux ; 1,2 l, 75 ch ; 1,4 l, 98 ch ; 1,6 l, 88 ch et 1,6 l, 110 ch. En diesel, le moteur de 1,5 litre est proposé en trois niveaux de puissance : 70, 86 et 106 chevaux.
A priori, vu l’augmentation de poids de la voiture (150 kg de plus que la II), on pourrait penser qu’il faut préférer une motorisation puissante. Mais en roulant avec les « petits » moteurs, on s’aperçoit que cela n’est pas indispensable : avec le 1,2 l essence de 75 ch qui équipait la voiture de notre essai, la Clio est tout à fait à la hauteur, à condition de maintenir le moteur « dans les tours », c’est-à-dire au-delà de 4 000 tr/min. C’est un peu sonore, mais efficace ! Bien sûr, les moteurs plus puissants restent plus agréables.
Plus grande, la Clio III est aussi plus chère. Pour maintenir un prix d’entrée attractif, Renault continue de proposer des Clio II en entrée de gamme. Quant à la version tricorps, elle reste au catalogue, également sur la base de la II.

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